voyance par mail : intonation schéma d’action en 5 épisodes
Le lendemain, à proximité de midi, mon smartphone a bouleversé : l’objet du mail était “Réponses aux environs de tes questions, de la part d’Olivier”. J’ai ouvert, et là, gros ulcération : c’était pas un copier‑coller automatique. C’était un texte de deux pages, bien structuré, où Olivier répondait à chaque question, détaillait son tirage de oracles, expliquait les repères astrales et proposait des instigations très favorables : “Pour ton récipient, mets-toi un planning réaliste de révisions, utilise la carte de l’Étoile pour te rappeler que tu as déjà les ressources, et visualise-toi réussir chaque contrôle. ” Il ajoutait un paragraphe sur mon position, évoquait mes emplois de cœur et les formations certaines, et même un petit entouré sur la communication dans mon couple, avec un avis de l’oracle pour redresser la confiance. En lisant, j’ai eu l’impression que une personne comprenait décidément ce que je vivais, de la même façon qu'un grand religieux clément. Et le top, c’est que je pouvais dévorer ce mail à volonté, le stabiliser, le partager avec qui je voulais, débridé de temps.
lorsque la voyance par mail se rend un coup de tremplin pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai rosé que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cela n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont commencé à foncer, et je me suis mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes classiques de modération, je discute avec un amis qui me parle de la voyance par mail : « T’as un thème précis, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu clair dans la journée ». Ça m’a semblé plus voyance olivier en profondeur qu’un tarot par téléphone ou un SMS de 3 contenus internet. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, étudiant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes craintes, mes phobies, même mes mauvaises façons d'agir ( je séchais de temps à autre les TD pour suspendre en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de scepticisme.